Terma 27 – Avec Ma Femme, En Vacances Au Bord De Mer :

Terma 27 – Avec ma femme, en vacances au bord de mer :
Après sa rupture avec son dernier amant, le jeune libraire, l’humeur de ma femme est redevenue très difficile à supporter et je n’arrivais pas à lui trouver un autre amant pour satisfaire sa chatte insatiable et sa terma affamée. Heureusement que les vacances d’été arrivant, les occasions de lui trouver un autre homme à la hauteur seront meilleures et nombreuses.
Et nous sommes partis avec ma voiture, pour un mois de vacances à la mer. Grace à un ancien ami habitant la ville côtière, j’avais loué, il y a quelques jours, une petite maison privée, située à quelques dizaines de mètres de la plage. Notre ami nous attendait pour nous guider vers notre logis de vacances.
Nous avons constaté, avec bonheur, que notre ami a bien fait les choses, frigo et armoires bien garnis pour plusieurs jours, équipements complets en ordre. Après un bon repas, nous nous sommes couchés assez tôt à cause du voyage et on a fait la grâce matinée jusqu’à dix heures, le lendemain. Ensuite, après un bref petit déj et nos serviettes de bain sous le bras, on est descendu à la plage.
J’étais vêtu d’un simple short et ma femme avait juste son soutien gorge et un slip ficèle sous son hijab et un foulard sur la tête. Je ne savais pas qu’elle avait un slip ficelle. Elle m’a expliqué qu’elle l’avait acheté en cachette de moi, justement, pour me faire une surprise à la plage. « Mais ma chérie, il sera toujours caché sous ton hijab ! » et elle « ça ne fait rien , moi je sais qu’il est la ! et cela me fait plaisir ! c’est tout ! ». J’ai, toutefois, fais remarquer que si son hijab mouillait, le profil de ses fesses sera apparent et elle m’a répondu qu’elle fera très attention.
Etendus sur nos couvertures, et à quelques pas de l’eau, nous avons gouté la fraicheur de l’air marin iodé. Il y avait, certes, une foule énorme bigarrée, mais on était à l’aise. Ensuite, je suis rentré dans l’eau et après quelques minutes, ma femme, en hijab, un peu craintive, m’a rejointe.

Mais elle s’est arrêtée dès que l’eau lui est arrivé à mi jambes. Alors, elle s’est assise dans l’eau, a enlevé son foulard et barbotait avec les mains pour s’asperger la poitrine cachée et les cheveux.
Puis elle s’est étendue pour que l’eau lui couvre tout le corps jusqu’aux épaules, gardant la tête dehors et en se tenant sur ses coudes. Avec ses pieds, elle a retroussé son hijab pour se dénuder à mi cuisses. Ainsi, et avec cette eau claire, on la voyait presque jusqu’au slip, mais dans cet univers de vacances, c’etait peu de choses. J’ai nagé à droite et à gauche et plus loin jusqu’à perdre de vue ma femme.
Dix ou quinze minutes plus tard, je suis revenu, mais avant de sortir de l’eau, j’ai remarqué qu’un homme, se tenait, debout dans l’eau, juste devant les jambes et les cuisses, bien visibles, de ma femme. On dirait qu’il l’admirait, peut être en train de la draguer. Elle restait toujours étendue et il semblait qu’elle avait même un peu écarté ses jambes, au point que l’homme pouvait, ainsi, voir une partie de son slip ficelle. La situation commençait à m’exciter, alors je suis sorti de l’eau un peu plus loin. Passant derrière ma femme, sans qu’elle ne me remarque, j’ai effectivement vu qu’elle avait écarté ses jambes et cuisses, bien visibles dans l’eau claire et que l’homme, devant elle, les fixait d’un regard intéressé.
C’était un homme d’âge mur, d’une cinquantaine d’année, un peu de ventre mou, mais la poitrine poilue, de même que ses cuisses. Son short avait déjà une légère bosse au niveau de son sexe, donc il bandait sur ma femme. Debout si près d’elle, elle a certainement remarqué cette bosse naissante de désir. Je la soupçonne même d’avoir écarté ses jambes, exprès. De plus, son hijab, mouillé, profilait facilement sa grosse poitrine, malgré son soutien.
Je continuais à les observer, mais comme il y avait foule dans l’eau et sur la plage mouvementée, ni elle, ni le gars ne m’ont remarqué. L’homme, toujours debout face à ma femme, se caressa la poitrine, puis sa main descendit vers son short.
Et, par un geste rapide, certes discret mais net, il a empoigné, son paquet, sexe et couilles, comme pour les offrir à la chatte de ma femme étendue. Puis, rapidement il a remis sa main au niveau de sa poitrine pour ne pas se faire remarquer par les gens.
Ce signal clair a été bien reçu par ma femme. Elle a relevé ses genoux, les pieds à plat dans l’eau et a écarté encore plus ses cuisses. Ainsi, son hijab est remonté sur son ventre, découvrant complètement son slip. Par l’entrecuisses, l’homme voyait nettement l’érotique renflement du slip au niveau de la chatte. C’est alors que l’homme s’assis dans l’eau juste en face de ce sexe qui profilait aussi, certainement, le sillon provocateur de la chatte.
Ils restèrent un bon moment à se délecter de ces positions et leurs sexes doivent maintenant être enflammés de désir. Ensuite, ma femme se leva et se dirigea vers nos couvertures. De ma position, je voyais son hijab mouillé qui se collait à son derrière et le profil de sa large terma était net, de même que le sillon de ses fesses où le vêtement était incrusté. L’homme s’était aussi relevé et l’a suivait, les yeux fixés sur ce tableau bandant du cul de la femme, et preuve à l’appui, sa bite pointait un beau chapiteau qui déformait son short.
Il suivait ma femme sur le sable, puis il s’est rapproché d’elle comme pour lui parler. Mais elle lui fit un signe autoritaire du bras tendu vers la mer, alors, l’homme s’arrêta, la laissant le devancer de quelques pas. Mais il continuait à la suivre de très prêt, le regard toujours fixé sur sa terma, malgré qu’elle avait dégagé, de la main, son hijab, du sillon de ses fesses. Se faufilant à travers la foule, ils se sont dirigés vers l’arrière de la plage, au niveau des cafés, des marchands de pizzas et des cabines.
Puis je les ai perdu de vue car ils sont passés derrière la rangée e cabines. J’ai hâté le pas en me faufilant, moi aussi, derrière les cabines mais du coté inverse. Je les ai retrouvés juste au moment où l’homme rejoignait ma femme.
Il lui a tenu et baisé la main, puis ils sont partis le long des cabines, pour s’arrêter enfin devant la dernière que l’homme à ouvert, avec une clé semble t-il, et où ils sont rentrés en fermant la porte.
J’ai contourné toutes la rangée et je me suis assis, par terre, juste contre la dernière cabine et j’ai tendu l’oreille. Ainsi, j’ai pu entendre, mais avec difficulté, quelques bribes de leur conversation. En réalité, ce que j’ai entendu, c’était des halètements accélérés, des froissements de vêtements, puis les gémissements de ma femme. Comme j’avais pratiquement mon dos contre la cabine, je ressentais les mouvements de la cabine. Ainsi, j’ai ressentis nettement, et deviné, les chocs des vas et viens puissants du zob dans la chatte ou la terma de ma femme.
Maintenant mes oreilles percevaient mieux leurs souffles accélérés et leurs gémissements de plaisir. Pire, j’ai même discerné les légers et érotiques « flop-flop » humides et accélérés que faisait le zob en entrant et sortant du sexe, noyé de cyprine, de ma femme. Ces affolants « flop-flop » suivaient le rythme des « han-han » de l’homme chaque fois qu’il s’enfonçait dans ma femme.
J’étais excité et ma bite commençait à se gonfler. Je voulais me masturber, mais, juste à ce moment, quelques jeunes se sont manifestés un peu plus loin, derrière les cabines. Ils tenaient des bouteilles et se soulaient, sans me remarquer. Alors, je me suis débiné en vitesse. Ensuite, assis sur le sable, au milieu de la foule, à plusieurs mètres des cabines, j’attendais que les deux amants terminent leur partie de plaisir.
Il leur a fallu plus d’une heure pour jouir de leurs sexes dans cette cabine, où mon imagination galopait à me rendre malade de désir inassouvi. Enfin, ils sont sortis de la cabine et se sont dirigé vers le comptoir d’un café de la plage, où ils consommé deux verres de limonade et acheté une bouteille d’eau. Normal qu’ils soient assoiffés après plus d’une heure de baise et de sodomie.
Ils ont discuté un moment, puis ils se sont séparés.
Ma femme, la bouteille d’eau à la main, s’est dirigée vers notre coin de plage et l’homme est parti de l’autre coté. Alors, je me suis hâté pour rejoindre notre coin de plage, juste au moment où ma femme arrivait, bien couverte avec son hijab, sec, et le foulard sur la tête. Comme à son habitude, pour noyer le poisson, elle passe à l’offensive.
Elle m’a reproché d’avoir tardé en la laissant toute seule. Et moi, pour voir sa réaction, je lui ai répondu que tout à l’heure, je suis revenu mais elle était absente. Sans perdre son sang froid, elle m’a répondu qu’ayant soif, elle était allé se désaltérer auprès des cafés et elle m’a montré la bouteille d’eau, l’hypocrite.
Mais je reconnaissais facilement le visage détendu et enjoué de ma femme quant elle a assouvi ses désirs sexuels. Elle n’arrivait pas à le dissimuler, de même que lorsqu’elle est fâchée et désappointée quant elle a soif de grosses bites. Puis elle a désiré rejoindre notre maison à cause, dit-elle, d’un besoin naturel. Comme à mes habitudes, ce qui m’intéressait, c’était de sentir l’odeur de l’homme et de son sperme sur le corps et le hijab de ma femme, alors je l’ai suivie en essayant de humer son hijab sec, mais en vain.
Alors, dès qu’on est entré, et avant qu’elle ne rejoigne la salle de bain, je l’ai prise par la taille et serrée contre moi. Surprise, elle a poussé un éclat de rire d’excitation et levé les bras. Alors, par l’ouverture de sa poitrine, j’ai humé l’odeur de son corps. Et, nettement, j’ai senti les odeurs de l’homme, différentes de celles de la sueur de ma femme. C’étaient des odeurs fortes, étrangères, et sachant qu’elles étaient le résultat des rushs de l’homme et de son zob contre et dans le corps de ma femme, elles m’ont excité et ma bite se réveilla brusquement.
Mon érection contre le ventre de ma femme l’a surprise mais elle m’a repoussé en douceur « non mon chéri ! pas maintenant ! ce soir ! ce soir ! », puis elle a couru vers la salle de bain. Avant qu’elle ne referme la porte, je suis rentré derrière elle, espérant une baise par derrière ou une sodomie. Elle a haussé les épaules et s’est débarrassée de son foulard, puis de son hijab.
Comme prévu, elle n’avait pas son soutien. Puis, brusquement, elle s’est bloquée et a tourné la tête vers moi. Elle a du se rendre compte que j’avais remarqué l’absence de son soutien gorge et elle me sondait du regard. Tout en l’observant discrètement, j’ai fais semblant de ne m’intéresser qu’à son slip ficelle qui découvrait totalement son cul par derrière.
Rassurée, elle a donc aussi enlevé son slip et, toujours absorbé par sa terma, soit disant, je l’ai palpé par devant et par derrière, mais elle m’a repoussé encore une fois « chéri ! j’ai un besoin naturel ! laisses moi ! ». Frustré et même fâché, je suis sorti et elle a verrouillé derrière moi. Mais, pendant mes brefs touchés à son cul, j’ai pu constater des traces de sperme séché sur sa peau et sur le slip par derrière. Elle a du le remettre avant que tout le sperme ne coule complètement de son cul.
Mais j’ai aussi, bizarrement, senti quelques traces de sperme séché sur sa poitrine. J’ai compris, ils ont du faire la branle espagnole. Il a branlé son zob, un moment, entre les seins de ma femme et un peu de sperme a du couler entre les gros nichons de ma femme. Pendant plus d’une heure, ils ont beaucoup joué avec le zob de l’homme. Il n’a rien négligé, sa chatte, sa terma, même le sillon de ses nichons. Peut-être, aussi, sa bouche ! C’est sur, elle a du aussi lui lécher, sucer et branlé le zob !
Mais j’ai aussi senti nettement l’odeur de la sueur de l’homme dans la salle de bain, lorsqu’elle a été totalement nue. Ma bite était excitée, mais elle m’a repoussé pour se nettoyer. Et j’étais frustré et en colère. Alors, allongée sur le lit de la chambre, j’ai ôté mon short et, nu, les cuisses écartées, je me suis masturbé. Ma femme est revenue de la salle de bain avant que je ne finisse. Elle est restée bloquée devant moi, les yeux ronds pendant que je terminais ma branle.
Je voyais qu’elle fixait mon zob, brillant de ma salive lubrifiante et gonflé à fond. Certainement excitée, elle s’est rapprochée et, courbant son visage vers ma bite, elle a voulu la saisir à la main mais je l’ai repoussée. Et, brusquement, j’ai éjaculé trois salves dont la première a atteint ma femme au visage. Elle s’est reculée et moi, je restais allongé, brusquement détendu de toute la tension qui me torturait le corps depuis que je les avait entendu baiser dans la cabine.
Ensuite, nu et tenant ma bite d’une main et mon short de l’autre, je suis allé me nettoyer dans la salle de bain. A mon retour dans la chambre, en short, je voyais que ma femme avait changé le drap pollué et me regardait, on dirait, avec crainte. Je l’ai observé un moment avec une moue au lèvres, et, haussant les épaules, je suis sorti pour aller à la plage. Et, pour ce soir, elle ne devra pas compter sur mon zob.
L’après midi, on a fait la sieste, puis la télé et soir, après diner on est descendu à la plage où il y avait de la musique et une sorte de fête locale. Puis, vers minuit on est allé se coucher. Mais ce que femme veut, mon zob ne peut jamais refuser. Elle l’a un peu tripoté et, lové contre moi, elle m’a ensorcelé avec ses seins que j’aime lécher et sucer, puis on a fait l’amour avant de nous endormir.
Le lendemain, habillé comme hier, nous étions à la place à la même place, suite au choix insistant de ma femme, et que je n’ai pas compris tout d’abord. Mais, quant cinq minutes plus tard, j’ai découvert, dans la foule, son amant d’hier, pas très loin de nous, étendu sur le sable, j’ai commencé à saisir et j’ai attendu leurs réactions. Effectivement, quinze à vingt minutes plus tard, ma femme a, parait-il, ressenti un besoin naturel pour retourner à la maison.
Elle m’a demandé de l’attendre à la même place, en faisant attention à nos couvertures. Tu parles de couvertures ! Elle est partie et j’ai observé l’homme. Immédiatement après ma femme, il s’est levé et s’est dirigé vers la zone des cabines. Je l’ai suivi discrètement. Ma femme l’attendait déjà devant la porte de la dernière cabine qu’il a du louer avant notre arrivée sur la plage.
Je croyais qu’ils allaient s’embrasser, comme des amoureux normaux, mais ils sont rentrés aussitôt dans la cabine et fermé la porte. Ce ne sont pas les manifestations d’amour qui les intéressaient mais uniquement le plaisir des sexes, du zob gonflé qui s’enfonçait dans l’intérieur brulant de la chatte dégoulinant de désir et dans la terma affamée et frémissante à l’approche d’une grosse bite dure comme un gourdin.
Et c’est ainsi que ma femme a trouvé, pour ses débordements, l’homme qu’il faut et qui semble être à la hauteur. Ainsi, on va être tranquille quelques temps, suivant l’humeur et les besoins de ma femme, et ma bite pourra avoir, comme hier soir, chaque nuit, sa part de plaisir.

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